Tout ce qu’il faut savoir sur Outcast - A New Beginning
Dossier
PUBLIÉ LE 19 mars 2024

Tout ce qu’il faut savoir sur
Outcast - A New Beginning

Crédit : THQ Nordic
PUBLIÉ LE 19 mars 2024

On avait oublié ce bon vieux Cutter Slade depuis 1999. Et pourtant, tel un général américain avide d’exterminer de paisibles autochtones pour exploiter les ressources de leur habitat, il est au rendez-vous de cet Outcast - A New Beginning. Voilà tout ce qu’il faut savoir sur le dernier né de Appeal Studios.

Après 25 ans, la suite d’Outcast débarque sur PC, PS5 et Xbox Series X. Et comme au bon vieux temps, on retrouve Cutter Slade, tout droit sorti de son hibernation. On espère qu’il est en forme, parce qu’il a du pain sur la planche ! On fait le point sur toutes les infos concernant Outcast - A New Beginning.

L’histoire

On te le disait, notre héros est de retour après s’être tourné les pouces pendant un 1/4 de siècle. Mais finalement, après avoir sauvé le monde d’Adelpha dans le premier opus, il devra faire sensiblement la même chose puisque les Talans (les sympathiques habitants de la planète) l’ont appelé à la rescousse face à une invasion robotique de grande ampleur. Pour la faire courte, du côté du scénario, on est assez (très) proche d’Avatar (celui de James Cameron, pas le chauve). Notre héros, un ancien Navy SEAL qui a pris un petit coup de vieux (et perdu la mémoire), n’a pas d’autre choix que de se transformer en résistant s’il veut un jour quitter la planète sur laquelle il est pris au piège, et retrouver sa fille.

Pour ce faire, il va falloir se retrousser les manches et s’adapter à un environnement pas forcément naturel pour un humain d’une quarantaine d’années.

Le monde merveilleux d’Adelpha

On te le disait, Outcast ressemble pas mal à Avatar. On ne va pas jouer à « c’est kikikakopié ? » mais le premier jeu de la licence est sorti en 1999 (dix ans avant le film de Cameron). Et donc qui dit ressemblance dit monde féérique à la faune et la flore luxuriante. Même si ce « new beginning » n’est pas un titre AAA, les paysages offrent de vrais moments d’émerveillement dont certains jeux à plus gros budget peuvent rougir. Jungle, côtes, hauteurs, chaque biome propose un environnement et un défi différent. La multitude de villages Talans propose aussi pas mal de diversité. Tu l’auras compris, on est sur une ôde au voyage. Même l’apprentissage des langues étrangères est de la partie puisque l’on découvre peu à peu le vocabulaire (et les traditions assez surprenantes) de nos hôtes.

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Crédit : THQ Nordic

La gratuité transport

Pour se déplacer sur cette planète aux milles surprises, les équipes d’Appeal Studios ont mis les bouchées doubles et ont développé un outil bien sympa : le jetpack. Si, au départ, notre héros n’a droit qu’à quelques coups de boost pour s’élever à 5, 10 et 15 mètres au-dessus du sol, très vite, on se transforme en véritable Iron Man (sans les missiles nucléaires). Et comme tu peux t’y attendre, c’est assez grisant de naviguer sur l’île en rasant le sol à toute vitesse (une fois qu’on s’est fait la main, évidemment).

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Crédit : THQ Nordic

En plus du fait de pouvoir devenir l’équivalent humain d’une hirondelle supersonique, on peut aussi appeler notre assistant personnel : une sorte de porte-avion alien qui nous permet de voyager encore plus vite. Quel que soit votre choix, les déplacements sont réellement un des points forts du jeu et une raison suffisante pour ne que très peu utiliser les voyages rapides.

Pléthore de quêtes annexes

Pour vous permettre d’explorer de manière fluide la douce Adelpha (et vous tenir en haleine), le jeu est jonché de quêtes annexes : destruction de bases ennemis, cueillette pour les Talans, transports d’objets en tout genre, sabotages… il y a de quoi faire. En les accomplissant, vous verrez la flore de la planète regagner en vigueur, se remettant petit à petit des dégâts infligés par les ennemis.

Et puisqu’on en parle, A New Beginning nous offre pas mal de diversité. On compte plus de dix types d’ennemis différents, et ce pour chaque race. Car oui, on est amené à désosser du robot, de l’insecte comme de l’humain (sans lâcher de gros spoilers).

Pour cela, Cutter a pas mal de choix. Même s’il ne dispose que de deux armes, il peut les customiser à volonté. Et quand on te dit qu’il y a de la variété, on ne plaisante pas ! Entre les modes de tir horizontaux formant une ligne, arrondis à forte dispersion, projectiles enflammés, empoisonnés, il y a en sincèrement trop pour tous les lister. Testes, construis, déconstruis et fais-toi plaisir face aux hordes d’ennemis (il y a beaucoup de combos dévastateurs).

En tout cas, quelle que soit votre expérience sur Adelpha, on espère qu’il ne faudra pas encore attendre 25 ans avant une prochaine itération de la licence.

Outcast - A New Beginning est disponible sur PS5, PC et Xbox Series X.

Outcast - A New Beginning