Avec l’arrivée de Dragon Ball Z Kakarot: Daima Edition, les amoureux de la licence vont pouvoir découvrir une nouvelle facette de leur saga préférée. Et si tu es passé à côté du phénomène Dragon Ball Z, Kakarot, c’est juste la meilleure façon de s’y mettre (avec 40 ans de retard, mais on n’est pas là pour juger).
Dragon Ball Z Kakarot: Daima Edition arrive le 18 juillet, et c’est un énorme paquet qui comprend Dragon Ball Z Kakarot (le jeu de base), et le nouveau DLC : Dragon Ball Z: Kakarot: Daima. Alors que la première partie nous replonge dans tous les événements de DBZ, la seconde, comme son nom l’indique, se concentre sur Daima.
Et même si depuis 1986, on est abreuvé de jeux Dragon Ball, (Tenkaichi, Budokai, Xenoverse, Sparking! Zero et bien d’autres), Kakarot tient la corde en tant que production parfaite pour découvrir l’univers créé par Akiro Toriyama. Si tu cherches à transformer l’élu(e) de ton cœur, ton neveu ou ton daron en un fan avide de Goku et de sa team, c’est la meilleure option.
Une leçon d’histoire
Dragon Ball Z Kakarot, comme pas mal de jeux DBZ, nous permet de suivre l’histoire de l’arrivée de Raditz jusqu’à la toute fin de la saga Boo. Mais là où il innove, c’est qu’il nous permet de voyager librement, dans un open world bien moderne. Dans Budokai 3 par exemple, on pouvait se déplacer, mais l’ensemble était assez terne (et un peu vide, on ne va pas se mentir). On regardait la minimap, on allait à tel endroit, et un dialogue écrit se déclenchait… niveau immersion, ce n’est pas vraiment le haut du panier. Dans Kakarot, tu peux oublier l’idée de spammer A (ou croix) pour passer les dialogues, tous les grands moments du manga sont recrées et ré-imaginées en CGI de qualité. Il en va de même pour les doublages (en japonais ou en anglais, c’est au choix). Tout simplement : on revit l’anime en incarnant chaque personnage important, et pour quelqu’un qui n’a jamais vu un épisode, l’ensemble est parfaitement cohérent (et passionnant).
Gameplay jouissif et accessible
Côté gameplay, Kakarot est un RPG, et pour ce qui est des combats, même s’il est un peu moins technique que certains de ses frères et sœurs, il reste tout aussi satisfaisant. Globalement, c’est parfait pour une personne qui n’a pas 300 heures sur Elden Ring et qui n’a pas envie de suer à grosses gouttes face à Nappa. Dynamiques, stylés, on prend tout ça en main rapidement pour se faire plaisir.
Visuellement magnifique
2025 oblige, ce Kakarot: Daima Edition est juste très beau. Avec la sortie du DLC Daima, les graphismes du jeu de base ont aussi été améliorés, on est donc sur un sans-faute (de toute façon, avec les jeux DBZ, on est désormais habitués à des visuels de feu), et quelqu’un qui ne connaît pas l’univers sera vite happé par les animations, les couleurs pétantes et tout le reste.
En prime, Dragon Ball Z Kakarot: Daima Edition nous plonge dans ce qui est officiellement la dernière œuvre d’Akira Toriyama, de quoi lui rendre un vibrant hommage.
Dragon Ball Z Kakarot: Daima Edition est disponible en précommande sur PS5.