Avec la sortie de La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume, on en est au 10e film de la franchise depuis 1964. Histoire de changer un peu d’air, on a demandé à ChatGPT d’imaginer un reboot, mais avec un animal vachement plus menaçant : le phoque.
La Planète des Phoques se déroule dans un futur relativement proche. L’humanité, poussée par le réchauffement climatique, se retrouve obligée de quitter la terre pour coloniser une planète lointaine. C’est ainsi qu’au 25e siècle, nos descendants (ou nous. Personnellement, quand il fera 40 degrés en janvier, j’irai me réfugier dans un frigo de supermarché en attendant d’être réveillé par mes arrières petits-enfants) débarquent sur Néptoria.
Néptoria
Néptoria, c’est une planète bleue et blanche recouverte en grande partie par les océans et où il fait très froid. En gros, c’est l’Islande et ses environs (et sans les noms de volcans imprononçables façon Fagradalsfjall). Mais malgré son apparence peu accueillante, elle est en fait le berceau d’une faune incroyable. C’est un peu comme pour les bounty et les artichauts, pour profiter des richesses du produit, il faut aller sous la surface.
Au fond des mers (tu remarqueras qu’on évite de dire « sous l’océan » pour que tu n’aies pas la chanson de La Petite Sirène dans la tête), comme le dit ce bon GPT : « Néptoria révèle sa véritable splendeur. Les eaux cristallines abritent une abondance de vie marine, allant des créatures bioluminescentes des profondeurs abyssales aux bancs de poissons colorés qui glissent gracieusement à travers les récifs coralliens. »
La rencontre
Oui, l’intelligence artificielle peut être poète et rattrape Émile Zola à vitesse grand V (IAccuse). Mais avant de me retrouver sans emploi et obligé de me nourrir exclusivement de sachets de nouilles instantanées, revenons à notre film. Au cours d’une expédition, une équipe de chercheurs dont le professeur Alan Grant fait partie (oui, on a décidé de recycler Jurassic Park aussi) découvre que les phoques sont bien plus évolués que prévu. Société bien organisée, plein emploi, criminalité très faible, langage poussé et, surtout, recyclage des déchets… bref, c’est l'utopie façon parc aquatique.
Peu de temps après cette rencontre fortuite avec les humains, une partie des knackis des mers, menée par un jeune chef charismatique répondant au doux nom de Néptus (ouais, les ordinateurs ont eux aussi parfois la flemme), décide de se révolter : la coloc, c’est terminé.
Pour que tu puisses un peu visualiser la bête, voici un petit croquis made in Skynet :
Et ouais mon pote. Néptus, il déconne zéro. D’ailleurs, pour l’incarner à l’écran, GPT nous a proposé Jason Momoa. Comme quoi, entre deux requêtes, notre Minitel préféré se mate Aquaman en boucle.
La rébellion des saucisses aquatiques
Mais malgré leur technologie de pointe (à ne pas confondre avec la technologie de pointeur de Dani Alves) les phoques sont malins et utilisent à bon escient leur environnement. Pour attaquer Nova Mare, principale ville des colons humains sur la planète, l’armée des boudins privilégie une approche sous-marine. En nageant silencieusement, ils réussissent à se rapprocher des côtes sans être repérés. Vient ensuite le moment de l’assaut, lors duquel la joyeuse troupe surgit des vagues : l’effet de surprise est total.
Armés de lances de corail, de harpons améliorés et de filets (quelle ironie terrible), les Phocidés attaquent la ville en criant « Aqua Vox » (la voix de l’eau, prends ça James Cameron). Après une bataille acharnée, GPT n’a pas voulu nous donner de gagnant clair. C’est probablement pour essayer de nous faire croire qu’il n’a pas du tout envie de prendre le contrôle de la planète, mais il nous a dit : « les deux camps réalisent que la poursuite du conflit ne ferait que causer plus de destruction et de souffrance. À travers des négociations difficiles et une médiation extérieure, un accord de paix est finalement conclu.
Selon les termes de l'accord, les humains reconnaissent la souveraineté des phoques sur certaines parties de Néptoria, tandis que les phoques acceptent de coopérer avec les humains dans des domaines d'intérêt mutuel, tels que la recherche scientifique et la préservation de l'environnement. »
On est donc très impatient de voir à quoi ressembleront les nouveaux surimis imaginés par les deux espèces. En attendant, pour avoir une meilleure idée de ce à quoi pourrait ressembler le film, il faut savoir qu’on nous a proposé Denis Villeneuve comme réalisateur, et on avoue que, le voir troquer le sable de Dune pour l’eau de Néptoria est assez tentant.
Avant la sortie de ce magnifique reboot (on va écrire la suite du script sans la publier, ça reste notre idée quand même), La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume est à retrouver en salles.