Nintendo Switch 2 : Caractéristiques et Fonctionnalités
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PUBLIÉ LE 17 oct. 2025

Nintendo Switch 2 : Caractéristiques et Fonctionnalités

PUBLIÉ LE 17 oct. 2025
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Depuis sa sortie, la Nintendo Switch 2 s’est imposée comme la nouvelle console hybride phare. Elle combine évolutions techniques, compatibilité avec l’ancien catalogue et fonctionnalités sociales inédites. Après plusieurs mois sur le marché, que vaut-elle réellement ? Décortiquons ses caractéristiques.

On peut le dire sans trembler : la Switch 2, ce n’est pas juste une upgrade, c’est une vraie montée en gamme. Nintendo a gardé ce qui marchait (le concept hybride, les Joy-Con, les différentes façon de jouer), mais a tout passé à la vitesse supérieure. Plus rapide, plus belle, la nouvelle console Nintendo est prête à affronter le futur du jeu vidéo… avec un grand sourire et une batterie boostée. Tu veux savoir ce qu’elle a dans le ventre ? Tu es au bon endroit.

Conception et ergonomie : la Switch en version 2.0

Nintendo n’a pas tout cassé, ils ont fait mieux : ils ont révisé leur copie avec sérieux, sans enlever ce qui faisait le sel de la première Switch.

La console hybride garde son format compact, avec ses Joy-Con 2 qui s’attachent et se détachent via des connecteurs magnétiques (adieu les rails grinçants et les clips douteux).
Et avec son support inclinable à 150°, elle te laisse la liberté de la poser sur une table (si, si, on y reviendra) pour tenter une partie à deux en local… tant que t’as pas les mains d’un gorille.

Petit tour des ports : deux USB‑C (top pour la recharge et les accessoires), une prise jack 3,5 mm (oui, en 2025, on en a encore besoin), un lecteur de cartes de jeu compatible Switch 1 et 2, et un capteur de luminosité pour éviter de te cramer la rétine à 2h du matin. Bref, tout ce qu’il faut, sans superflu.

Affichage et sortie vidéo : plus net, plus fluide, plus wow

Là, Nintendo s’est lâché. La Switch 2 sort l’artillerie lourde avec un écran LCD 7,9 pouces en Full HD, compatible HDR10, et surtout, avec un rafraîchissement jusqu’à 120 Hz. Résultat : l’image est fluide, nette, et même les menus sont fraisl.

En mode portable, c’est un vrai confort visuel (sauf si tu joues à DOOM Eternal dans le métro, là, il ne faut pas trembler).
Et en mode TV, la console balance du 4K à 60 ips, voire 120 ips en 1080p ou 1440p, selon ton écran et ton jeu. On est clairement montés d’un cran par rapport à la Switch OLED — ici, c’est beau ET stable.

Performances et stockage : elle a mangé du GPU au petit déj

Cette fois, c’est clair : la Switch 2 ne rame plus. Grâce à un chipset NVIDIA custom, basé sur l’architecture Ampere et boosté par un processeur ARM Cortex-A78C plus des cœurs CUDA, la bête envoie. Les jeux se lancent vite, tournent bien, et les temps de chargement n’ont plus le temps de te faire regretter ton enfance.

Le stockage interne passe à 256 Go en UFS — exit l’eMMC mollasson de la première Switch. Et pour les plus gourmands (ou les fans de RPG qui pèsent 89 Go), tu peux balancer une carte microSD Express allant jusqu’à 2 To (après une petite mise à jour système, évidemment).

Attention : les vieilles cartes microSD ? Elles servent encore, mais surtout pour les captures d’écran et les vidéos.

Audio, son spatial et micro : on s’entend (beaucoup) mieux

Sur la Switch 2, le son ne fait plus tapisserie. Nintendo a revu sa copie avec des haut-parleurs stéréo à boîtiers hermétiques — une façon élégante de dire que le son claque mieux, sans saturer. En mode TV, la console balance du PCM linéaire 5.1 pour te plonger dans l’action, ou dans la cacophonie, selon le jeu.

Le micro intégré n’est pas là pour faire joli non plus. Réduction de bruit, suppression d’écho, contrôle automatique du gain… En résumé : tu peux enfin pourrir ton pote sur Mario Kart avec clarté, et il n’aura plus l’excuse du “j’t’ai pas entendu”.

Joy-Con 2 : les manettes qui murmurent à l’oreille de ton gameplay

Les Joy-Con 2, c’est un peu comme la suite d’un bon film : on garde l’esprit, on améliore les effets spéciaux. Fixation magnétique au top, bouton d’éjection pratique, et surtout : un nouveau bouton C sur le Joy-Con droit qui active des fonctions en ligne comme GameChat ou GameShare. En gros, c’est un raccourci vers le multijoueur bien pensé.

Côté tech, ça reste du haut niveau : accéléromètre, gyroscope, vibrations HD 2 et un petit capteur optique façon “mode souris” pour les jeux compatibles (parfait pour les devs indés qui veulent tenter des trucs chelous). Autonomie ? Environ 20 heures, soit pile le temps qu’il te faut pour enfin battre ce boss qui te résiste depuis trois semaines.

Connectivité et interfaces : plus de câbles, plus de vitesse, plus de confort

Fini le Wi-Fi asthmatique. Place au Wi-Fi 6, bien plus stable et rapide. En mode portable, la navigation est fluide, et le matchmaking dans les jeux en ligne se fait sans lags ni prières aux dieux du réseau.
Tu veux du filaire ? Le dock t’offre un port Ethernet intégré. Et oui, ça change vraiment la donne sur les jeux compétitifs.

Côté connectique, la console reste généreuse : double USB‑C (pratique pour charger tout en jouant sur table), prise jack 3,5 mm pour brancher ton casque sans dongle tordu, et sortie HDMI classique pour le mode TV. Rien de révolutionnaire, mais tout ce qu’il faut est là. Et ça marche bien.

Fonctions en ligne : Nintendo sort (enfin) de sa grotte

Il fallait bien que ça arrive. En 2025, Nintendo a enfin compris que les joueurs veulent parler, partager, et parfois même se voir pendant qu’ils jouent. Résultat ? GameChat et GameShare débarquent.

GameChat, c’est du chat vocal natif, accessible via le fameux bouton C. Fini les applis tierces à côté de la console. Tu branches ton casque, tu parles, et ça marche. Le futur, mais version Nintendo.

GameShare, lui, te permet de partager ton écran avec un pote, même s’il joue à un autre jeu. Genre tu campes à Hyrule pendant qu’il tente d’éviter une bleue sur Mario Kart World. Et si tu as une caméra USB‑C compatible (vendue séparément, évidemment), tu peux même lancer une visio à 4. L’option est gratuite jusqu’au 31 mars 2026, puis incluse dans l’abonnement Nintendo Switch Online.

Modes de jeu et compatibilité : trois façons de jouer (et une que tu n’utiliseras jamais)

Les trois modes sont toujours là, et ça fonctionne :

  • Le mode portable, aka la vraie vie.

  • Le mode TV, pour les soirées sérieuses ou les tournois entre potes.

  • Et le fameux mode sur table, qu’on soupçonne d’avoir été inventé uniquement pour les pubs. On l’a tous essayé une fois. Une.

Côté compatibilité, bonne nouvelle : tous les jeux Switch première génération sont lisibles. Versions physiques, numériques, cartouches oubliées sous ton lit… tout passe. Il y a bien quelques limitations sur certains titres, mais dans l’ensemble, la transition est douce. Et évidemment, les nouveaux jeux Switch 2 tirent profit de la puissance supplémentaire. Un petit tour sur les jeux Switch 2 dispos suffit à voir que le futur de la console est déjà bien lancé.

Autonomie et recharge : tu peux (presque) faire une journée complète

La batterie de la Switch 2 t’offre entre 2 et 6,5 heures de jeu, selon ce que tu lances et comment tu joues. Disons-le franchement : ce n’est pas incroyable, mais c’est solide. Les AAA gourmands consomment un max, mais si tu joues à des titres plus chill ou en 2D, tu as de la marge. Recharge complète en 3 heures, en veille.

Les Joy-Con 2 tiennent la route avec environ 20 h d’autonomie. Tu peux faire une session entière sur Hades 2, mourir 47 fois, et il te restera encore assez de batterie pour te faire humilier sur Mario Kart. Et si tu as besoin d’un boost, tu peux recharger via la console ou un support adapté parmi les accessoires Switch 2.

Consommation énergétique et environnement : pas une centrale nucléaire

Petite parenthèse pour les plus techos d’entre nous : la Nintendo Switch 2 consomme environ 19 W en pleine session en mode TV, 8 W sur le menu, 0,5 W en veille Wi-Fi, et 5 W en veille avec LAN. Ce qui donne, selon ton usage, une fourchette annuelle de 14 à 50 kWh. Autant dire qu’elle pompe moins que ta box internet.

Température de fonctionnement idéale entre 5 et 35 °C, humidité tolérée jusqu’à 80 %, et indice DAS tronc/membres à 0,663 W/kg. Autrement dit, elle ne cuit ni ta table basse, ni ton foie.

La Switch 2 a déjà fait ses preuves

La Nintendo Switch 2 ne se contente pas de succéder à la première : elle la surclasse.

Tout ce qui faisait la force de la Switch est de retour, mais boosté, raffiné, modernisé. Un écran plus grand et plus fluide, des performances qui tiennent enfin la route, une connectivité à jour, un système audio digne de ce nom… et surtout, une console qui s’adapte à toutes tes envies de jeu, que ce soit dans le canapé, sur la route, ou entre deux cours (oui, on t’a vu).

C’est la console de jeu pensée pour 2025 : belle, rapide, portable, sociale. Et avec un catalogue déjà bien lancé entre les nouveautés Switch 2 et les classiques Switch compatibles, tu ne risques pas de t’ennuyer.

Venez voir nos Nintendo Switch 2 !