Roster, mode Scénario, gameplay : on revient sur tous le éléments qui ont fait entrer Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 3 dans la légende.
Parce qu’il propose un roster dantesque...
Si l’on s’attache autant à l’univers de Dragon Ball, c’est grâce à ses personnages. Les combattants inventés par Akira Toriyama possèdent tous un détail qui nous permet de les aimer ou qui nous fait marrer. Et justement : l’une des grandes forces de Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 3 est qu’il ne laisse quasiment personne de côté. Au total, le titre de Bandai Namo propose 98 personnages jouables. Un total qui grimpe à 161 si l’on comptabilise toutes les formes jouables ! Ce roster gigantesque permet de réaliser les combats dont on a toujours rêvé, en mettant en scène aussi bien Gogeta SS4 que Mr Satan, le Kamé Sennin et même la petite Aralé de Dr Slump. La taille du roster compte dans chaque jeu de combat et à ce niveau-là, presque aucun titre n’est en mesure de rivaliser avec Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3.
… et de nombreuses arènes
Pour Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 3, les développeurs ont conçu 30 arènes jouables de jour comme de nuit. C’est bien beau direz-vous, mais en réalité ce paramètre a une réelle influence sur le gameplay. La pleine lune a, par exemple, un impact sur les saiyans qui se transforment en singe géant. Mais il y a d’autres éléments intégrés aux cartes : les célèbres Dragon Ball ! Dans Budokai Tenkaichi 3, ces dernières sont cachées dans le décor. Pour les récupérer, il suffit de le briser, alors qu’elles peuvent apparaître lors de n’importe quel combat contre l’ordi. Elles vous permettent de choper de la monnaie, des cartes supplémentaires, des personnages et contribuent à ce que les différentes maps ne soient pas de simples décors stériles.
Parce que le mode Scénario va droit au but
Là où son prédécesseur nous permettait de revivre quasiment tous les combats connus de la saga, notamment ceux de Dragon Ball, DBZ, DBGT mais aussi des films et des hors-séries, Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 3 va à l’essentiel. On y retrouve les arcs principaux, déclinés de la manière la plus fidèle possible à l’oeuvre de Toriyama. Pour cela, un gros effort a été réalisé au niveau des dialogues des personnages, qui n’hésitent pas se lancer dans des joutes verbales en plein combat. Bref, le mode scénario nous immerge dans cet univers si particulier et retranscrit parfaitement les divers événements de l’histoire sans jamais les dénaturer.
Parce qu’il dispose d’une multitude de modes de jeux
Le gros point fort de Budokai Tenkaichi 3 est qu’il est impossible de s’ennuyer. Une fois l’excellent mode Scénario terminé, d’innombrables modes de jeu s’ouvrent à vous. Notamment le traditionnel mode Tournoi qui, pour l’occasion, a été revisité et propose cinq championnats bien distincts qui disposent, chacun, de leurs propres règles. On peut aussi mentionner le mode Dragon Sim, qui s’articule comme une Carrière dans une simulation sportive. L’objectif ? Développer un personnage en l’entrainant, en explorant et en le mettant au repos afin de le maintenir au top de sa forme et gagner des combats.
Parce que c’est une merveille niveau gameplay
Si Budokai Tenkaichi 3 a marqué les joueurs, c’est d’abord grâce à son gameplay. Ses larges arènes offrent un terrain de jeu idéal pour chasser votre adversaire dans l’espace. Dans cet opus, le scan automatique a été ajouté, ce qui veut dire que vous n’avez pas vraiment à gérer la caméra qui reste fixée sur votre adversaire. Ça semble tout bête, mais ce n’était pas le cas sur BT2 et cette nouveauté à été particulièrement bien accueillie par les joueurs. Les affrontements sont dynamiques, addictifs et ont, chacun, leur propre histoire.
Si Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi 3 est devenu un classique aux yeux des fans, c’est bien grâce à son contenu semblant illimité. Pour rappel, le titre est sorti sur PS2 et Wii et n’a absolument pas à rougir face aux jeux actuels. La série sera-t-elle ressuscitée par Bandai Namco (ou Shenron) ? On l’espère, mais en attendant, vous pouvez toujours vous rabattre sur Dragon Ball Z : Kakarot qui débarque le 17 janvier sur PC, PS4 et Xbox One.
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