Quand on pense à un ou une végan(e), on voit tout de suite cette personne ultra concernée par le bien-être animal. Un cheminement remarquable, mais qui reste relativement limité en termes de portée. Sauf dans le jeu vidéo, où il est possible de prendre sa revanche de bien des manières.
Vengez les chèvres
Certaines personnes dans ce monde sont assez fortes pour résister au succulent combo chèvre-miel. On ne sait pas de quel jutsu cela relève, et on admire un tel niveau de discipline dans le véganisme. Si la lutte contre les traites excessives est un combat sans fin - tout autant qu’une bûche de chèvre se mange sans faim - il est tout de même possible de foutre la misère aux horribles personnages qui en sont responsables. Il suffit de se pencher deux secondes sur le cas GOAT Simulator, où la chèvre est reine et fada de tartines humaines. Disons que si certains les préfèrent en train de bêler de façon niaise touffe d’herbe à la bouche, avec le titre de Coffee Stain Studios, c’est à de la chèvre gangsta que l’on a le droit. Avec un tout autre type d’herbe au bec, et un rapport de force inversé pour notre plus grand plaisir.
Inversez les rôles de la pêche au requin
Limiter sa consommation de poisson pour lutter contre la surpêche : un acte tout ce qu’il y a de plus louable. Mais ça n’est pas ça qui va vous permettre de contrôler ce qu’il se passe dans les océans. Alors faites-vous le plaisir de choper Maneater. Ne serait-ce que pour enterrer la mode du sushi, et transformer d’horribles plagistes en sashimi. Au fond, vous aiderez même les squales à sélectionner leur bouffe et se faire justice. Un humain adepte de steak tartare a forcément meilleur goût qu’un maître du tofu. Alors faites-le payer, et refaçonnez la sélection naturelle avec le titre de Tripwire Interactive.
Aidez l’oie à faire sa loi
Si au moment des fêtes de fin d’année tout le monde oublie subitement l’horreur qu’est le gavage des oies - tout ça pour un bout de foie gras - Untitled Goose Game leur permet de prendre leur revanche. Et de bien belles manières, avec des coups tordus tous plus machiavéliques les uns que les autres. De quoi foutre le bordel dans le plus paisible des villages, et d’en gaver toute la population. Un juste retour des choses.
Singez l’homme
Vous connaissez Ape Out ? Un titre minimaliste qui vous place aux commandes d’un singe de laboratoire ? Son but : s’échapper de cet enfer, en écrabouillant tous les humains sur votre passage. Parce que, oui, le véganisme ne s’arrête pas au contenu d’une assiette, mais s’aventure également sur le terrain de la souffrance animale. Ape Out peut s’avérer être un excellent titre pour tout vegan souhaitant calmer ses pulsions meurtrières. Par exemple, en prenant le contrôle d’un gorille en capacité d’écrabouiller toutes ces blouses blanches à gerber contre des murs. Ou en les écartelant à mains nues. Soit autant de façons de prendre son pied en inversant les rôles de tortionnaires et victimes. Un must-have en cas de crise de nerf.
Le véritable sens d’une faim de loup
Si le végan lutte contre la présence de fourrure animale dans l’industrie du textile, ça n’est pas le cas de toutes les petites fashionistas écervelées. Ici, on aimerait les voir face au loup-garou de Werewolf The Apocalypse - Earthblood. Quelque chose nous dit qu’elles se passeraient rapido de la fourrure qui orne leur doudoune à quatre chiffres. Quitte à ne pas pouvoir protéger ces fabuleuses bestioles, autant les incarner pour étriper. Et c’est tout ce que vous propose le titre de Nacon, dont le protagoniste n’a pas l’air de faire la moindre distinction parmi ses victimes. Ce que vous pourrez constater dès le 4 février sur PC, PS4, PS5, Xbox ONE et Series, en déchiquetant tout humain sur votre passage.
Werewolf The Apocalypse - Earthblood dans la boutique Micromania